Quand un cow-boy a le vague à l'âme, il noie ses peines dans le whisky et range ses pensées au fond de ses bottes. Quand j'ai le vague à l'âme, déjà d'une, c'est un ras de marée, ensuite, cela finit souvent mal. Pourtant j'aurai adoré être un cow-boy, mais à croire que l'époque change et influe les comportement. Il est maintenant minuit, le bar dans lequel je me trouve est sur le point de fermer. Un bar miteux ayant pour ambiance, un country crading et en décore, des poivrots qui ont du voir la guerre d'indépendance. Je ne les écoutes même plus. Je m'apprête à boire mon énième whisky. Le whisky de trop. L'acool peut rendre mauvais. Tout dépend de l'ambiance dans lequel ont le bois et les raisons qui nous motive.
Le bar ferme. je reprends la voiture, bourré. Je rentre chez moi, déprimé. J'écoute du vieux blues pourris le long de la route. Je m'installe dans mon canapé à peine rentré et me ressere un whisky. Trop c'est trop. Je balance mon verre a travers la pièce et d'un coup de pied la table basse vole. Je me lève et m'appuie contre la fenêtre. Dans ma poche un simple bout de papier. Un bout de papier que je n'attendais plus tellement je l'ai désiré depuis des années et que je refuse. Faye, mon frère. Et puis mon père. Ce père trop absent pour moi, trop porté sur son armée. Et moi qui jusqu'ici voulait suivre le même parcours que lui. Un coup de poing résonne dans le mur à coté de la fenêtre. Le plâtre vole et se réduit en miette. Il se mélange à mon sang qui s'écoule de ma main. Je sens mon corps comme le reflet d'une plaie qui recouvre mon coeur en entier. Et ma peine grandissante. Je ne tiens plus debout et m'éffondre dans le coin de la pièce. Ma tête entre les mains. Je suis en boule, mes genoux contre mon menton.
Je ferme les yeux et me revoit face à un père trop brutal, alcoolique et aigris par la peine. Je me relève et passe mes mains sur mon visage, essuyant les larmes, me poudrant le nez de plâtre rougeâtre de sang. Je déambule dans les pièces, dans la prison de verre qui m'entoure. Je veux appeler Faye mais que dirait-elle de moi..? Je me retrouve dans la salle de bain face à moi-même. Le portable en main, mon doigt sur le bouton "appel", sur le numéro de Faye. J'appuies et porte le téléphone à mon oreille. Elle réponds je ne parle pas. Je ferme les yeux et pleure avant que dans le micro retentissent l'impact de mon poing sur le miroir qui s'éclate. Je murmure
_Pardon...
Puis ma voix rejoignit le silence avant que je raccroche. L'alcool. Quelle torture.

Je savais que Faye allait venir suite à mon appel catastrophe. Aussi étonnant soit-il je ne voulais pas la déranger, mais c'était ce que tout être humain allait faire sûrement à sa place, moi le premier. Venir constater et aider. L'attente. Cette attente qu'à un chien lorsqu'il vient de faire une grosse connerie et que son maître s'apprête à rentrer. Cette attente la me pris soudain. Pourquoi? Sans doute avais-je ravagé toute ma maison? Non même pas cela, je savais que ce qui m'angoissais plus que tout serait sa réaction face à cette foutue enveloppe qu'on a déposé ce matin dans ma boite aux lettres. Cette réponse que j'ai attendu comme un chien qui attend son os. Je sors de la salle de bain et me dirige vers le grenier. C'est facile de savoir où je suis. Il suffit de suivre les traces de sang. J'ouvre la malle de ce qui me reste de mon père. J'en sors un objet noir mat. Inutile de dire ce que c'est, vous le saurez bien assez tôt. Je reviens dans la salle de bain. L'aigle du désert que j'ai dans la main et son matricule son recensé dans cette foutue institution que je m'apprête à rejoindre maintenant. Le coeur au bord de la falaise, comme si en observant le paysage, je voyais mon futur. Comme si je voulais voulais faire un pas en avant, me jeter dans les bras de Faye, mon avenir. Comme si ce coeur là, en voulant atteindre son avenir avait oublié qu'il se trouvait au bord de la falaise, et qu'un pic qui l'embrocherai l'attendait en bas. Un morceau de falaise, naturel, réaction de la terre, mère nature et autres forces impossibles à contrôler.
La porte se mit à claquer, et résonner dans l'entrée, mouvant les molécules de l'air environnant jusqu'à mes tympans. La transmission, de marteau à enclume, et jusqu'à l'étrier se transformèrent en angoisse. Je serrais l'arme que j'avais été cherché dans le grenier plus tôt bien serré dans la main. Mon Desert Eagle à moi. Ma guerre à moi. Faye approchait, je pouvais sentir son délicat parfum embaumer l'atmosphère plâtrée de la maison. Comment allait elle réagir. De ma main blessé, je sors de ma poche une enveloppe avec le sigle de l'armée. Je cache ma main valide sous mon t-shirt, l'arme contre l'épiderme de mon ventre provoque un frisson. Je ferme les yeux et sa réaction est celle d'une mère, qui se fiche de ce qui s'est passé, mais s'inquiète uniquement de la santé de son nourrison. Et je fonds en larme. Dans ses bras, dans le flots de cet amour et cet attention qu'elle me porte, je pleure, j'ouvre mon coeur pleinement, ressentant cet haine que j'avais jusqu'ici et cette peur, en haine en peine. Je ne pus dire quoi que ce soit, sinon pleurer. L'écho de mes sanglots se mêlent à sa voix rassurante. Lorsque je récupère assez de force pour lever mon bras, je tends l'enveloppe vers elle. Jusqu'ici j'étais avachis sur le sol. Je me redresse, posant ma main blessée sur le sol. Elle me conseille de me la passer sous l'eau. J'essuies mes larmes avec, me fichant un peu de mon état. Je n'attends pas que Faye comprenne le contenu de l'enveloppe alors qu'elle vient à peine de l'ouvrir et de commencer à lire.
_Je... Je suis enfin pris... Au bout de 4 ans d'attentes. Je suis pris quand... Quand je ne le veux plus.. Faye... L'armée m'attend. Je dois aller au front... Je ne voulais plus... Je veux plus...
Il était trop tard pour faire machine arrière. Mon arme descendit de sous mon t-shirt. Mon 9mm. Cette arme que je rêvais de braquer pour défendre la patrie entière. Et moi je ne serais même plus là pour tenir dans mes mains Faye et lui dire à quel point je l'aime. Ma santé mentale n'était plus si bonne. L'armée, l'asile, je serai dans tous les cas éloigné d'elle. Je me remis à pleurer. Les larmes coulent à flot sur mes joues et je fuis son regard.

Son "Oh", et sa tentative de se convaincre elle même d'une quelconque solutions me laissèrent pas de marbre, mais simplement désoeuvré. Elle pris mon visage entre ses mains aprés avoir arraché l'arme de mes mains. Je n'osais plus la regarder. Puis ces mots. Ce "embrasse moi" qui sonnait comme un adieu. Un adieu que je ne voulais pas. Je ferme les yeux, une larme s'en échappe, allant se perdre sur le dédale de nos lèvres. Baiser salé. Alors que nous nous embrassions, ce fut pour moi comme une illumination. Ce genre d'ampoule qui apparait derrière notre tête et nous éclaire l'âme et l'esprit. Vidé soudainement de toute noirceur, c'est comme si ce baiser résonnait comme une bombe atomique dans une ville plein d'immeubles, rasant tout. Pour mieux reconstruire. L'illumination parfaite. Je rompts le baiser et la mon air de taré-positif repris le dessus. Cet air que j'ai constamment et qui font que chaques choses intélligentes sortant de ma bouche ont l'air à la fois absurde, à la fois LA solution. Je regarde ma main et souris. Je pourrais gagner du temps. Beaucoup de temps.
_Faye... Je suis blessé...
Non pas un je suis blessé genre "je souffre". Genre "Je suis blessé, et voilà mon salut!"
_Je peux pas faire mon entrainement puisque j'ai la main défoncée... Je suis pas mobilisable pour le moment... Faye... Je sais comment gagner du temps!
Je souris pleinement et repris dans ma main valide, sa petite joue pour l'embrasser de nouveau.
_Demain je vais aux urgences faire un papier... J'en ai pour au moins 3 mois... Le temps que ma classe prenne son entrainement. 6 mois s'écouleront jusqu'aux prochaines séléctions... J'ai un an avant de pouvoir intégrer l'armée... Tu es magique Faye!
Je ris et la serre contre moi, blottissant mon visage entre ses seins sans m'en rendre compte. Puis j'ouvris les yeux et vis la peau dépassant légèrement de son haut de sa poitrine. Je rougis puis la regarde dans les yeux.
_Euh... Désolé...
Nous n'avions jamais eu de rapports sexuels ensemble et j'osais pas aborder ce point avec elle. Pourtant la, c'était mon premier geste -involontaire- ayant un attrait avec le sexe : blottir mon visage sur sa poitrine. Et cela m'excitait beaucoup, mais je ne voulais pas me l'avouer. Je me mordis la lèvre et me recule.

Elle écoutait mon exposé sur ma solution en comprenant que le quart. Le quart important il faut croire vu qu'elle compris qu'au moins, grâce à ma solution, nous gagnions un an. C'était court mais d'ici là, la guerre sera peut-être finie. Et puis avec un peu de chance, je me blesserai à nouveau en un an de temps. C'est alors que je cale ma tête dans ses seins. Aprés m'être reculé légèrement honteux car nous avions décrétés de prendre notre temps, elle me regarde et me dis qu'elle me pensais moins coincé. C'est alors qu'elle retire son haut dévoilant sa poitrine nue. Je reste bouche bée avec ces deux seins qui me regardent aussi dans les yeux. Je relève les yeux vers elle puis les pose de nouveau sur sa poitrine. Elle m'embrasse de façon si torride. Je prolonge avec la même passion. Sexes et sentiments semblent ne faire plus qu'un à l'approche de quelques chose qui va s'avérer être assez... Chaud. Elle se recule de nouveau et je pose mes mains sur ses seins que je caresse doucement en souriant. Ce n'est pas de ma fautes, je fais une fixation sur les poitrine. J'adore ça, je n'y peux rien. Ma main a bien sûr arrêté de saigner depuis un moment, et cela saura attendre demain. La, je suis occupé. Je retire à mon tour mon t-shirt, dévoilant mon torse nu et le col contre son buste. Je me colle à elle de nouveau, l'embrassant avec tellement d'entrain.

C'était parti. Ian Colt perdrait son pucel... non ça s'est fait, mais jamais par le passé il ne l'a fait par amour, et ça le faisait un peu flipper, mais il en avait tellement envie. Alors ce n'est pas dans une salle de bain qui pue le sang qu'il compte le faire. Il se lève et aide la jeune femme à se lever avec lui. Pas lorsque l'on aide quelqu'un qui est tombé. Son acte faisait ressentir tous l'amour qu'il porte à la jeune femme. Plein d'intention et de grâce, il l'a tire contre lui, collant sa joue droite contre celle de la jeune femme, portant ses lèvres à l'oreille de l'amour de sa vie, il sussure de façon à ce que seule elle et lui - qui d'autre pourrait entendre à part son chien qui dort en bas- sache ce qu'il a en tête.

_Vas dans ma chambre et attends moi sur le lit je t'en pris, j'aimerai me... Soigner quelques peu pour que l'on ne soit pas... Coupés.

Je souris et dépose un léger baiser ayant don de donner l'envie auprés de celle qui le reçoit. Je voulais qu'elle se dise "wow, il va gérer, j'en ai temps envie" mais surtout je voulais me retrouver quelques secondes seul afin de me soigner réellement mais surtout de me préparer à faire, pour la première fois, la toute première fois, l'amour. Pas de la baise comme je l'ai connu par le passé, sans sentiments, du sport brut et dur. Non je comptais lui faire l'amour comme l'on aime quelqu'un au point de ne faire plus qu'un avec la personne, de vouloir vivre sa vie contre elle, de fusionner et que le couple fasse qu'un seul et unique corps face aux alléas de la vie. Une façon d'officialiser le couple et lier le corps à l'âme que nous avions déjà. Lorsqu'elle parti de la pièce, je passe ma main sous l'eau, la désinfecte avec tous les soins du monde et pose un pansement -une fois que j'eus sécher ma main- suffisemment costaud pour résister toute la nuit. Torse nu, je décide de la rejoindre dans la chambre, dans laquelle j'entre, prêt a montrer ses sentiments de façon très expressive, corporellement parlant.

Elle accepte bien évidemment de me laisser quelques instants, et lorsque j'eu finis de me réparer la main pour éviter une seconde catastrophe au cours de l'acte, je me regarde quelques secondes dans le miroir. Je savais que tant qu'elle serai à mes côtés, tout irais mieux. Je sors de la salle de bain et à l'approche de ma chambre résonne une musique plutôt romantique que je n'écoutais jamais. J'avais appris a ne pas l'aimé avec le temps. Ne pas l'aimer car seul ce n'est pas évident de la comprendre. Maintenant elle prenait tout son sens. J'ouvris la porte et je vis Faye dans le lit, lumière tamisée uniquement fournie par des bougies, cette douce mélodie qui résonne aussi bien dans la pièce que dans mon cerveau. J'étais alors en caleçon. Moins romantique de stipuler ce détail, mais ce qui l'eut été c'est que je l'étais pour la suite des évènements. Je m'approche sur lécteur CD et fais une préselection de musique a partir de ma clef. Une playlist que j'avais depuis quelques jours sur une clef USB et que je reservais pour cette soirée. Pas cette soirée par la date, mais cette soirée évènementiel dans notre couple. Bien sûr que je ne zappais pas la musique qu'elle avait mise, je la laissais même se jouer, je savais juste que les prochaines me paraissait plutôt romantiques.
Je me tourne alors vers elle et lui souris d'un sourire sincère. Pas de ce sourire que j'avais habituellement avant l'acte, coquin et plein d'envie. Non, un sourire amoureux et heureux qui arborait mon visage soudain si paisible. Je m'avance doucement vers le lit et je me glisse dessus à 4 pattes. J'avance jusqu'à sa hauteur, me tenant au dessus d'elle, plantant mon regard dans le sien. Mon collier, pendant, chatouillait le creux de son cou. Ces secondes auprés d'elle me parraissent si magique. Le temps n'y paraissait pas mais la musique suivante se lançait paisiblement.

Je ferme doucement les yeux et capture doucement ses lèvres en me collant doucement à elle, malgrè la couverture entre nous. Je retire peu à peu la couverture pour me retrouvé totalement contre elle et entremêlé nos corps, comme s'ils ne faisaient plus qu'un, comme si plus personne ne pouvais nous délier. Une de mes cuisses se collait contre l'extèrieur de la sienne, et je remontait mon pied a son mollet pour lui caresser. L'autre de mes jambes était entre les siennes. Ma main droite tenait fermement entre ses doigts, la sienne dont je caressais la paume avec le pouce. Mon autre main passait sur sa joue et allait se perdre doucement dans sa chevelure si douce. Tandis que le baiser durait en longueur, mon coeur battait si vite qu'on eu cru que Scorpions avaient fait appels à deux batteurs pour interpreter leurs chef-d'oeuvre.

Nos positions, si proches, et ce baiser langoureux auquel Faye mit fin, cela me semblait tout droit sorti du plus beau de mes rêves. Alors qu'elle plongeait son regard dans le mien, sa voix se fit entendre, et mes oreilles parvinrent à comprendre ce qu'elle me dit :" Je t'aime.." c'était la première fois qu'elle me le disait, la toute première fois, et une larme de joie fit son apparition au coin de mon oeil. Je prends la paroles à mon tour décidant de ne pas dire le terme "aussi".
_Je t'aime..
Aussi aurait voulu dire par défaut, un sentiment rattaché au sien. En faisant le choix de ne pas dire ce mot la, je montrais l'indépendance et la force qu'ont mes sentiments pour elle. Puis elle nous retourne pour se retrouver sur moi. Je glisse doucement mes mains sur son dos, bas du dos, et ses jolies petites fesses qui me font craquer. Elle m'embrasse puis dévie ses baiser. Une longue série de frisson et de vague de chaleur se font ressentir. Je me mords la lèvre tandis que ses baisers partent de mon cou et progressent lentement sur mon torse puis mes abdos, s'arrêtant à la limite de mon caleçon. Elle remonte et m'embrasse, jouant avec ma langue.
La peur était le sentiment que je ressentais au début. La peur de ne pas être à la hauteur, mais surtout de n'être qu'un "lion", de ne pas savoir ce qu'est le romantisme. De ne pas lui montrer, à travers mes actes l'amour que je lui porte. Finalement, alors que le désir charnel se faisait ressentir, la peur desserte peu à peu mon corps pour ne laisser qu'une vague souvenir. Emplissant mes poumons, son odeur, son image, imprégnant mes pupilles, son toucher qui se concentre sur mes lèvres, l'amour prend le pas sur tout autre sentiment et désir. Je ressens cet amour jusqu'au bout de mes doigts qui, caressant son corps, semblent lui montrer l'affection et l'attention que je lui porte.
Bien sûr que le désir ne peut-être totalement disparu, mais ce sentiment si fort que je lui porte me pousse à agir avec délicatesse. Comme si, tout contre moi, se logeait une poupée de porcelaine, laissant une sensation de chaleur et de douceur sur ma peau. Je remonte mes mains doucement sur son dos et ne pense plus à rien si ce n'est elle. Cet instant, dans la salle de bain, quelques temps auparavant dans la soirée, me semble si loin, rayé, effacé du tableau. L'armée, oubliée. J'en oublies même jusque savoir comment je m'appelle. Tous mes souvenirs s'effacent et je ne vis plus qu'à travers cet instant magique. Le temps n'est plus qu'une vague notion dans mon esprit. Tout semble s'arrêter, comme si la nature, la terre entière respectait cette passion sortie du néant, du fond de nos âmes. Mes lèvres se déposent doucement dans le creux de son cou et gagnent doucement son épaule. Je sens dans mes veines une dose d'euphorie, de passion, d'amour. Ce sentiment de ne faire plus qu'un avec l'être aimé.
Grandissant dans mon esprit, chaque seconde passé dans ce lit, dans ses bras, semble poser les fondements d'un avenir en commun. Je glisse doucement un peu plus mes lèvres vers le bas et gagne doucement sa poitrine. Je me redresse, l'obligeant à se tenir assise sur moi. Mon torse collé contre son ventre, mes mains effleur du bout des doigts ses côtes et se posent sous chacun de ses seins. Mes baiser se concentre sur le point médian du haut de son ventre. L'on eut dit que quand l'amour et sincère et profond, le touché de l'homme se concentre sur le ventre de la femme. Je n'y pensais pas actuellement, mais mes mains se décalèrent doucement sur la peau de son ventre, et mes doigts tendaient vers ses hanches. Et alors que je voulais descnedre mes baisers, je la fais se basculer en arrière, se retrouvant allongé sur le lit, moi au dessus d'elle et mes lèvres au niveau de son nombril.