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 ★ Ever ★ Don't judge a book by its cover

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Everleigh A. FergusonEverleigh A. Ferguson


★ Un petit mot :
W. Shakespeare - Il y a une marée dans les affaires des hommes. Prise dans son flux, elle porte au succès. Mais si l'on manque sa chance, le grand voyage de la vie s'échoue misérablement sur le sable. Or aujourd'hui nous sommes à marée haute. Prenons le flot tant qu'il est favorable ou tout ce que l'on a risqué sera perdu.

★ Feat. : Nina cute Dobrev
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★ Messages : 44
★ Arrivée à L.A le : 10/08/2012


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Âge: 20 ans
Statut: Célibataire
Etudes/Job: 2ème Année de psyco

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MessageSujet: ★ Ever ★ Don't judge a book by its cover    ★ Ever ★ Don't judge a book by its cover  EmptyVen 10 Aoû - 19:29


    everleigh annathéa ferguson
    terminée
    feat. jessica funky stroup.
    Qui suis-je?
    lieu de naissance ; New York City, le 21 novembre 1992
    âge ; 19 ans
    statut ; célibattante
    études/travail ; étudiante en deuxième année de psychologie
    confrérie ; GAMMA PSI
    groupe ; Studieux
    caractère ;
    → Notre Everleigh n'est pas une fille dépourvue de tout tempérament. Au contraire. Comme le dit l'adage (à peu près en tous cas), les Blondes sont belles, les Brunes ça pique. Eh oui. S'il y a bien une chose qu'il ne faut pas faire, c'est lui marcher sur les pieds. Têtue, bornée, un peu colérique, notre jolie brune a toujours son mot à dire, ou tout du moins elle s'arrange pour. Une attitude désarmante qui irrite plus d'une personne, à commencer par ses propres connaissances. Jalouse et possessive, le côté sombre d'Everleigh se révèle uniquement lorsqu'elle est véritablement attachée à quelqu'un. Si elle devient obsessionnelle, c'est qu'elle vous aime ! (a). Rassurez-vous, Everleigh est pleine de qualités. Elle a juste quelques petits défauts, comme tout le monde !

    Quand bien même les gens s'intéressent à elle, Everleigh a perdu la naïveté de l'enfance, et rembarre volontiers ceux ou celles qui pourraient se montrer très intéressés par... je ne sais pas moi... sa fortune personnelle ? Et oui, Everleigh est issue du haut du panier, de la classe supérieure. Quand bien même, elle se contente de profiter sans s'en vanter systématiquement. Exhubérante de nature, Everleigh est, curieusement, muette sur ce sujet... La jolie brune est très attirée par la gente masculine, une attirance plus que réciproque. Sans être un Dom Juan au féminin, Everleigh se contente de donner un peu d'elle à ceux auxquels elle accorde le titre de "petit ami". Qu'on se le dise : Everleigh n'est jamais véritablement amoureuse. C'est terrible, et elle préférerait mourir plutôt que de l'avouer, à elle ou à quelqu'un d'autre. Mais le fait est que depuis quelques années, le coeur d'Everleigh n'a guère ressentit plus que de minuscules battements, bien loin de ce que l'on peut appeler un grand amour.

    L'amitié est, pour Everleigh, une chose extrêmement précieuse. Elle aime être entourée de ceux qu'elle aime. Attentive aux autres, notre brunette à en elle une véritable envie de se lier d'amitié avec les autres, d'aider les gens, de s'investir envers ses copains et copines. En dehors de quelques amis mâles qu'elle connaît depuis l'enfance, Everleigh ne croit guère en l'amitié entre sexes. Côté familial, notre jolie brune a perdu sa mère dans son enfance ; sa première grande blessure. Son père, un homme d'affaire, est toujours débordé et, même s'il aime sa fille, il est souvent dur et cassant avec elle, tout simplement parce qu'il est maladroit.
    Tiens, et si nous parlions de toi !
    « Il y a un début et une fin à tout. Même le monde s'écroulera, et il ne restera de ces milliards de vies étroitement liées que les cendres de leurs souvenirs. »
    Prologue


    Je suis née il y a maintenant près de deux décennies. Le tonnerre déchirait le ciel obscur, les éclairs ravageant la nuit jusqu’alors paisible. Une nuit de novembre comme toutes les autres depuis plusieurs millénaires, qui voyait venir sur Terre une petite fille dont la vie serait pavée d’embûches. Mais qui, dans la vaste chambre, aurait pu songer que le bonheur ambiant n’était qu’une façade lisse et fragile, tellement, tellement fragile ? Ma mère, Julia, luttait pour sauver sa vie et la mienne. Car la fragile femme avait déjà enduré deux fausses couches. Allait-elle survivre à l’aboutissement de cette troisième grossesse ? Rien n’était moins sûr. Elle était alitée depuis désormais six mois et demi. On n’avait même pas pris le risque de la déplacer dans un hôpital. Et depuis douze heures, elle luttait contre la vie, contre la mort, contre elle-même, se dépassant encore et toujours dans les limites de la souffrance. Je me suis souvent demandé à quoi elle avait pensé pendant ces longs moments de douleur. A sa vie, certainement. Mais qu’avait été sa vie ? Je n’en connaissais que les grandes lignes, à savoir qu’elle n’avait plus de famille, qu’elle avait épousé mon père à dix-neuf ans. Très tôt. Trop tôt. Puis enfin, après plus de seize heures, je vis enfin le jour.

    Chapitre 1


    « Everleigh ! Everleigh ! Nom de Dieu, mais où est encore passée cette gamine ?! EVERLEIGH » Le majordome poussa un soupir lourd de ressentis et quitta le petit salon où, apparemment, la « gamine » n’avait pas résolu de se cacher. Tout du moins pour cette fois. Six ans, l’âge des petites bêtises en bande organisée, de la marelle et des poupées. Pour ma part, j’aurais volontiers bazardé toutes celles que j’avais dans ma chambre rien que pour avoir un bon terrain de foot dans le jardin. J’étais un véritable garçon manqué, à l’époque. Mais qui puis-je ? Mes poupées me foutaient la trouille, avec leurs visages de porcelaine et leurs yeux fixes. La villa Ferguson, comme on l’appelait partout à la ronde, était bien trop immense pour une petite fille de six ans, qui passait ses journées seule à la maison, en compagnie d’un majordome qui n’était ravi que d’obéir à mon père, et une femme de chambre insipide. (L’adjectif n’était pas de moi, c’était ma tante Gabriella qui l’avait utilisé lors de l’une de ses visites. Pour elle, Marietta faisait parti de ces gens qui n’avaient d’opinion personnelle pour rien et semblaient n’avoir jamais eu un gramme d’ambition. Quand bien même son jugement fût résolument hautain, elle n’avait pas réellement tord sur certains points). Quand à ma mère… Papa disait qu’elle était fatiguée. Mais à mon sens, fatiguée depuis six ans. Alors je ne la voyais jamais. Elle était presque toute l’année dans des établissements de remise en forme. Je le savais après que papa eût laissé traîner un prospectus sur lequel il avait collé un post-it où il précisait à Valéry, notre majordome, d’appeler le numéro pour savoir s’il leur restait des places. Il avait sans doute dû penser que ça ne risquait rien ou pas grand-chose ; vous pensez bien, il ne savait même pas que je savais lire.

    En bref, on peut donc dire que ma vie à la Villa Ferguson était bien terne. Détrompez-vous, depuis l’arrivée de la famille Mackenzie, deux ans plus tôt, à côté de chez nous, j’avais trouvé une merveilleuse compagnie en la personne de Samuel, le petit dernier de sept ans. On passait nos journées ensembles, à faire les quatre cents coups. « EVERLEIGH ! », hurla à nouveau Valéry. Je me tournai vers Samuel, et nous étouffâmes un fou-rire. Nous étions cachés sous la table, dissimulés par la nappe blanche qui tombait jusqu’au sol. Puis, en me mordant la lèvre, je sortis doucement de sous la table et me dirigeai vers la porte du salon, suivie de Samuel. Ils Nous nous ruâmes vers l'escalier en marbre d'Italie pour rejoindre ma chambre, située à l’étage suivant. A mi-parcours du long couloir, je me figeai, les oreilles aux aguets. Des cris raisonnaient un peu plus loin. Avançant lentement, sans faire de bruit, je tournai à l’angle du couloir, pris à gauche et m’approchai en silence de la porte du fond. Papa m’avait interdit d’aller ici. C’était la chambre de maman. La porte était fermée, mais les cris étaient tellement forts qu’on l’aurait cru ouverte. « …Julia ! CALME-TOI ! », s’époumonait mon père. « Tu ne comprends pas ! JE REFUSE DE PARTIR ! », hurlait ma mère, d’une voix suraigüe. Je fis un bond en arrière quand quelque chose fut jeté au sol et explosa en mille morceaux dans un grand fracas. Un vase, à en juger par le bruit. « Julia, tu ne peux pas rester ici ! Tu as besoin de soins ! », explosa mon père. Un cri aigu, tranchant comme une lame de rasoir, retentit. « LACHE-MOI JAMES ! LACHE-MOI » Ses paroles se transformèrent en cri sur la dernière syllabe. Il aurait certainement fait exploser la vitre derrière moi si la porte avait été ouverte, j’en étais persuadée. « Tu es ingérable ! Tu veux faire du mal à Everleigh ? A ta fille ? », insista mon père. STOMP. Le bruit de quelqu’un se jetant à genoux à terre. Des sanglots retentirent. « Non… », murmura ma mère dans un hoquet. « Cette clinique fait des merveilles », assura mon père d’une voix douce. Puis, tout sembla voler en éclat. Le silence n’avait duré que quelques secondes. Mais déjà, la crise reprenait. « NE ME TOUCHE PAS ! NE ME TOUCHE PAAAS !! » A nouveaux les cris suraigus, cette folie dans la voix. Le bruissement des tissus indiquaient clairement qu’elle se débattait. « JE NE VEUX PAS ! LACHE-MOIII !! » « Pense à Everleigh… Pense à ta fille… », s’exclama mon père, d’une voix suppliante. Et le silence. La respiration saccadée, les sanglots. « Dis-lui que je l’aime… », murmura ma mère dans un nouveau hoquet. Ma respiration s’était accélérée comme jamais. Mon cœur tambourinait. Je ne pouvais plus rester ici. Je fis demi-tour et m’enfuis en courant.

    Mon père resserra sa prise sur ma main. Il commençait à me faire mal. Mais je n’osais rien dire. Ce n’était pas le lieu, pas le jour. Je fixais tristement le bout de mes chaussures vernies noires tandis que les pans de ma robe noire dépassant de mon manteau sombre s’agitaient dans la brise fraîche. Douze ans, l’âge où l’on commence à quitter l’enfance, où l’on comprend que le monde n’est pas si rose. Une foule silencieuse se pressait atour de nous. Tous ces gens en noir, je n’en connaissais pas un dixième. Je reconnaissais tante Gabriella, Valéry et Marietta, Samuel et sa maman. Quelques autres voisins, deux ou trois amis de papa. Le reste m’était inconnu. Tout ceci m’effrayait un peu. Je me rapprochai un peu de papa, dans l’espoir d’un quelconque réconfort. Mais il avait le regard fixé au loin, comme si le simple fait que son regard rencontre le cercueil à demi recouvert de terre devant nous lui fasse reprendre contact avec la douloureuse réalité. J’aurais aimé rentrer à la maison et simplement jouer comme si de rien n’était. Ou alors me coucher, m’endormir, oublier tout ça. Oublier que ce jour-là, je disais adieu à ma mère.

    Julia Eleanora Ferguson venait de mettre fin à ses jours.
    Elle avait trente-quatre ans, était maniaco-dépressive et venait de sombrer dans la folie.

    Chapitre 2


    « Everleigh ! Ever, sérieusement, tu vas continuer encore longtemps ? » Je ne me retournai même pas. Je me contentais d’avancer à grands pas, mes bottes à talons martelant le trottoir et mes cheveux rebondissant sur mes épaules. Quelqu’un saisit mon poignet, ce qui me força à me retourner. Je plongeai mon regard furieux dans les yeux bleus et implorant, d’un jeune homme d’une vingtaine d’années. Ses cheveux bruns, ébouriffés comme un ado, et son blouson en cuir noir trop grand me paraissaient soudain ridicules. « C’est n’importe quoi Alex, tu ne vas pas me poursuivre jusqu’au fin fond de l’Iowa ! », m’insurgeai-je en tentant de lui arracher mon bras. Mais la poigne dudit Alex continuait de me serrer fermement le poignet. J’eus la brève idée de hurler au viol, mais je finis par me dire que ce n’était peut-être pas le meilleur moyen de me débarrasser de lui. « Je le ferais. Je ferais n’importe quoi, te suivrais n’importe où jusqu’à temps que tu ne m’auras pas expliqué ! » L’irritation pointa le bout de son nez. « Expliqué quoi ? C’est finis entre nous, je ne vois pas ce qu’il y a de plus à ajouter ! Ca arrive à des milliers de gens toutes les semaines, je ne vois pas en quoi nous serions différents des autres ! ». Puis, dès que le dernier mot franchit mes lèvres, je lui arrachai mon poignet des mains de mon ex-petit ami. Je tournai les talons et m’éloignai, du moins je le pensais, de ce type envahissant. Mais Alex n’en avait pas fini. Il accéléra le pas pour me rattraper. « Alors c’est tout ? C’est comme ça que tu traites notre histoire ? Tu te comportes comme une garce ! Tu n’es pas comme ça, Ever, je le sais, nous le savons tous ! Ou alors tu es simplement trop lâche pour t’excuser ». L’amertume teintait la voix d’Alex. Je fis volte-face, folle de rage, et pointai un doigt menaçant dans sa direction. « Lâche ? LACHE ? Tu veux que je te dise, Alex ? Tu es pathétique ! Tu t’accroches désespérément à une histoire qui est déjà terminée. Nous avons passé quatre mois formidables, mais maintenant c’est fini ! Ne me force pas à le dire encore une fois ! Je pars à la Fac à l’autre bout du pays. Et je n’ai pas l’intention de me retrouver enchaînée à toi pour le restant de mes études ! », crachai-je, plus méchamment que je l’aurais voulu. L’amertume éclata dans les prunelles bleues du jeune homme. « Je me demande vraiment si tu es aussi garce que tu veux me le faire croire. Mais en attendant, tu es juste lâche et égoïste.» Sa voix se brisa sur les derniers mots, et Alex tourna les talons pour se fondre dans la masse du métro.
    Une étrange sensation m’envahit. L’abattement m’emplit entièrement et je me sentis seule et coupable. Lâche… Oui, peut-être l’étais-je, en fin de compte. Anéantie, je m’engouffrai dans le premier Starbucks venu. En me laissant tomber sur une chaise, je repensai à des yeux bleus, à des cheveux bruns en pétard et à un blouson de cuir noir. Mais qui n’étaient pas ceux d’Alex. Je finis par trouver un stylo dans mon sac à main et me mis à griffonner tristement sur une serviette.

    James
    James… Ce qu’il pouvait me manquer, mon James, en cet instant précis…




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Dernière édition par Everleigh A. Ferguson le Sam 11 Aoû - 10:20, édité 8 fois
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S. Liam PettersonS. Liam Petterson


★ Un petit mot :
il y a certaines personnes qui sont là. on n'sait pas pourquoi. on n'sait pas comment. mais on les aime. on serait capable de franchir des montagnes pour leur propre bonheur. on sait que ce sont des amis extraordinaires, à qui on accordera leur confiance éternellement.

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MessageSujet: Re: ★ Ever ★ Don't judge a book by its cover    ★ Ever ★ Don't judge a book by its cover  EmptyVen 10 Aoû - 19:35


comme dit sur la cb, bienvenue sur L.A. et merci de ton inscription.
bon courage pour la fin de la rédaction de ta fiche. & si tu as des problèmes, le staff est là pour t'aider. (: have fun. ♥️

ps : méfie toi de faye, elle est pas trop fréquentable. ★ Ever ★ Don't judge a book by its cover  337664734 ★ Ever ★ Don't judge a book by its cover  943541797
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Faye K. CrawfieldFaye K. Crawfield


★ Un petit mot : ღ GAMMA PSI ღ

Grey's Anatomy. Nous ne voyons que ce que nous voulons voir, nous ne croyons que ce que nous voulons croire et ça marche. Nous nous mentons tellement à nous-mêmes que très vite, nos mensonges ont l'apparence de la vérité. Nous sommes tellement dans le déni que nous sommes incapables de reconnaître la vérité quand elle est sous notre nez.❞

★ Feat. : Britt Robertson
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MessageSujet: Re: ★ Ever ★ Don't judge a book by its cover    ★ Ever ★ Don't judge a book by its cover  EmptyVen 10 Aoû - 19:36

Bienvenue à Los Angeles officiellement miss ★ Ever ★ Don't judge a book by its cover  1247806006
Si tu as la moindre question, le staff est là pour y répondre & bonne chance pour ta fiche ♥️

ps: C'est Liam le plus dérangé. Dans sa tête il est pas tout seul ★ Ever ★ Don't judge a book by its cover  337664734


Dernière édition par Faye K. Crawfield le Ven 10 Aoû - 19:38, édité 1 fois
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Everleigh A. FergusonEverleigh A. Ferguson


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MessageSujet: Re: ★ Ever ★ Don't judge a book by its cover    ★ Ever ★ Don't judge a book by its cover  EmptyVen 10 Aoû - 19:37

ahooon ★ Ever ★ Don't judge a book by its cover  992506692 Merci à vous deux ★ Ever ★ Don't judge a book by its cover  2420518548

ps: là maintenant, j'hésite ★ Ever ★ Don't judge a book by its cover  337664734
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Sarina N. WayneSarina N. Wayne


★ Un petit mot : Certains hommes sont sans but logique. On ne peut les acheter, les intimider, les raisonner ou négocier avec eux. Certains hommes veulent juste voir le monde brûler.
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MessageSujet: Re: ★ Ever ★ Don't judge a book by its cover    ★ Ever ★ Don't judge a book by its cover  EmptySam 11 Aoû - 10:30

FÉLICITATION
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BIENVENUUUUE CHEZ LES FOUUUUS ★ Ever ★ Don't judge a book by its cover  2420518548 J'ai l'honneur de t'annoncer que tu es validée. Tu peux dorénavant aller faire toutes tes demandes (liens, topics, diverses), n'oublies pas de recencer ton avatar et de voter pour le forum. Et surtout, amuse toi parce qu'après tout, on est ici pour ça. Si tu as la moindre question, le staff est à ta disposition et notre boîte à Mp est toujours ouverte.
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